Je ne sais combien d’entre nous ont déjà été touchés par le Covid en 2020.
Combien d’hospitalisations, parmi mes fidèles lecteurs ?
Combien de réanimations ? De décès autour de vous ?
J’invite tous mes lecteurs frappés par le malheur à mettre leur témoignage ici. Vous me permettrez ainsi de partager vos peines et vos joies éventuelles de guérison, s’il y en a.
C’est très important pour moi, et je vous en remercie d’avance.
Et vous pouvez aussi témoigner d’autres problèmes en lien avec le Covid, par exemple :
Car vraiment la situation est sombre.
Puis-je malgré tout me permettre de vous souhaiter une bonne année 2021 ?
Sachant ce qui nous attend ?
Avec la troisième vague, la quatrième ??
“Je n’ai rien d’autre à offrir que du sang du labeur, des larmes et de la sueur”, avait déclaré Winston Churchill lorsqu’il fut nommé Premier ministre d’Angleterre pour mener la guerre contre les Allemands en 1940.
“J’offre faim, soif, marche forcée, bataille et mort.”, avait dit avant lui le révolutionnaire italien Garibaldi.
Je serais tenté de vous écrire la même chose, en ce début d’année. Mais la vérité est qu’on ne sait jamais à l’avance comment une année va se dérouler. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle nous faisons des vœux !
Comme nous n’avons pas de boule de cristal, il est impossible de deviner d’avance si l’année qui vient sera merveilleuse ou catastrophique – quelle que soit la façon dont elle semble commencer.
Mais dans tous les cas, c’est de nous que va dépendre la réussite ou l’échec. Notre vie est cent fois plus déterminée par ce que nous nous imposons, que par ce que les autres nous imposent.
Oui, j’insiste : chacun peut aujourd’hui décider de faire de l’année 2021 la plus belle de sa vie, et ce quelles que soient les circonstances extérieures.
Ce qui rend notre vie belle ou laide dépend de ce que nous décidons d’en faire :
Mais nous pouvons aussi :
Nous pouvons ainsi consacrer notre année 2021 à découvrir ce que notre vie pourrait devenir, si nous arrêtions de nous nuire à nous-même, et de faire des choses qui nous affaiblissent.
Que se passerait-il dans ma vie si, en 2021, je m’abstenais d’agir contre mes propres convictions, mes propres idéaux, mon propre intérêt, et que je cessais de violer les promesses que je me suis faites à moi-même ?
Que se passerait-il si, en 2021, je mettais mon énergie sur les choses qui me font progresser, me renforcent, me rendent fier de ce que je fais ?
Je me permets de partager avec vous le texte que j’ai envoyé en ce début d’année aux personnes qui travaillent avec moi, et qui m’aident à toutes les tâches nécessaires pour que mes lettres arrivent dans votre boîte-aux-lettres (ce qui n’est pas aussi évident que cela n’en a l’air…) :
“ Pour cette nouvelle année 2021, je vous souhaite le bonheur, mais vous savez que le bonheur n’est pas un état à atteindre.
Le bonheur est un chemin. C’est un comportement à trouver face à l’existence.
L’existence est faite de joies parfois mais plus souvent de peines, de bonnes nouvelles occasionnelles et de déceptions nombreuses. Celui qui attend que tout aille bien dans sa vie, dans sa famille, au travail, dans son pays, pour être heureux peut attendre longtemps.
Toujours il y aura une maladie, chez soi ou chez un proche, un accident, une mauvaise note, une bêtise, une défaite, un abandon, un virus, une agression, une injustice, une trahison, qui viendront gâcher la fête qui semblait pourtant à portée de main.
Les personnes heureuses ne sont pas celles qui n’ont pas de problème.
Ce sont celles qui parviennent à voir le côté lumineux de la vie malgré les problèmes ; qui savent que toute épreuve contient un enseignement qui nous renforce ; qui sont donc à la recherche des épreuves, pour pouvoir découvrir en elles ce qui peut ou doit être amélioré.
La seule défaite impardonnable, c’est de se cacher, rester dans son trou, frileux, apeuré, parce qu’on n’ose pas affronter la vie, parce qu’on se sent trop faible pour supporter un échec, parce qu’on a trop peur que notre incompétence saute aux yeux de tous si on prenait le risque d’agir.
Le vrai courage, c’est d’oser, oser faire mal, oser se casser la figure devant tout le monde, affronter les rires, les moqueries. Par contre, il faut être capable de ne pas en rester là, et d’exploiter le ridicule, la honte cuisante, pour puiser l’énergie de recommencer et de mieux faire, aussitôt que possible.
Essayer, se tromper, souffrir de l’échec, mais profiter de cette souffrance pour changer, nous corriger, nous améliorer, c’est au fond ce que la vie offre de meilleur.
C’est ce qui nous permet de dépasser les aspects de notre personnalité qui nous affaiblissent. C’est de cela dont on se souvient le plus longtemps, dont on est le plus fier, qu’on racontera avec le plus de joie à ses petits-enfants, et qu’on méditera, avec une satisfaction profonde, au crépuscule de sa vie.
Vous le savez tous, au fond de vous : les personnes que vous admirez le plus sont celles qui ont affronté les pires épreuves et qui ont fait preuve du plus grand courage pour en sortir par le haut. Pour les imiter, il faut oser à son tour se jeter à l’eau.
On nous dit que l’année 2020, avec le Covid, a provoqué une vague de dépression, ou en tout cas une hausse spectaculaire de la consommation d’antidépresseurs. De mon côté, jamais je n’ai découvert autant de belles choses, de belles personnes, belles énergies, beaux projets, beaux succès, qu’en cette année 2020.
Le miracle va-t-il se reproduire en 2021 ? C’est de nos propres choix que cela va dépendre.
Que mes bons vœux vous accompagnent donc tous, et qu’ils touchent aussi vos vies personnelles et familiales qui sont si importantes et précieuses.”
Bonne année 2021, et à votre santé !
Jean-Marc Dupuis
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Bonjour, je viens de perdre mon beau-père c’est à dire le seul père que j’avais depuis mes 13 ans. Il cumulait plusieurs maladies, diabète, Lyme, Parkinson puis le Covid fin octobre avec une hospitalisation de 10 jours en novembre à l’hôpital d’Amboise dans lequel il n’a reçu AUCUN traitement !!! Il délirait et tombait (Parkinson) ils l’ont donc sédaté et attaché ! Ma mère n’avait pas le droit de le voir alors qu’il n’était pas contagieux et elle était mal traité par les médecins et infirmières car elle réclamait un changement de service pour pouvoir lui rendre visite. Après une… Lire la suite »
Mon épouse a 70 ans, atteinte de leucémie chronique, j’ai bientôt 74 ans et ai subi 2 interventions cardiaques, ce qui faisait de nous de sérieux “clients” pour la réanimation. Détectés positifs le 7 octobre, nous avons immédiatement bénéficié du protocole du professeur Raoult. 5 jours plus tard je n’ai plus de fièvre et je retrouve toute mon énergie en 3 jour de plus. Mon épouse mettra une semaine de plus compte tenu de sa maladie. Mais à aucun moment il n’a été question d’hospitalisation. Question: pourquoi l’hydroxychloroquine a-t’elle interdite dès le début de l’épidémie, autorisée mi-juillet au plus bas… Lire la suite »
Mais comment avez-vous fait pour bénéficier du traitement en octobre, alors qu’il était pourtant interdit? je suis ravi cependant que vous ayez pu vous en sortir.
Merci pour vos bons vœux collectifs, Je trouve votre article très pertinent. Il y a deux façons de voir la vie, soit comme une coupe à moitié vide, ou encore, comme une coupe à moitié pleine. Pour ma part, je penche pour la 2e. Je suis reconnaissante, car toute ma famille est en santé et mes quelques amis qui ont eu la COVID sont tous guéris et sans séquelles. J’observe les règles du gouvernement quasi à la virgule près! Je suis reconnaissante d’avoir encore mon travail, de vivre au Québec, d’habiter une petite maison douillette, de m’ennuyer de mes amis… Lire la suite »
Bonjour et bonne année à tous (meilleure année à tous 🙂 !!) Nous sommes mariés avec 3 enfants, l’un allant au lycée, un deuxième au collège, et le dernier à l’école primaire. Ma femme est enseignante dans le primaire. Nous touchons du bois : nous n’avons pas été contaminés. Enfin, pour autant qu’on sache évidemment… Pour ma femme, c’est pénible de porter le masque toute la journée devant ses élèves, mais sinon ça va. Seule ma fille lycéenne vit mal cette période qui l’empêche de participer aux activités de sa chorale qui l’emmène faire des tournées dans le monde. Le… Lire la suite »
les enseignants sont très méritants. ils l’ont prouvé durant cette période en sauvant ce qui peut l’être au niveau de l’enseignement… mais surtout je partage l’idée de la génération sacrifiée… par contre le privé et la laïcité???
Oui…? c’est-à-dire ?
J’ai eu le Covid et je m’en suis bien sorti, pourquoi ? Je ne suis pas personne à risque, mais je suis asthmatique et j’approche des 60 ans, il y avait donc une possibilité que je sois plus ou moins fortement impacté, je m’étais donc préparé un petit protocole au cas où. Le fait d’être asthmatique n’est pas fatalement un désavantage si des difficultés respiratoires se présentent (ce qui fut le cas), symptômes qui devraient vous envoyer à l’hôpital, sauf que je disposais d’aérosols contre l’asthme et donc d’un traitement relativement efficace. J’ai aussi pris des antihistaminiques pour diminuer la… Lire la suite »
Un autre témoignage, après celui de mon frère qui, je précise, habite Vanvouver, BC, Canada
Cette fois, une jeune femme de Montréal, prête à accoucher, son premier enfant je crois bien, s’est vu refusée l’accès à l’hôpital et a accouché chez elle sans aucune assistance. Ce n’est qu’après qu’on a diligenté quelqu’un à son domicile pour les suites nécessaires…
Permettez-moi de confirmer ce récit avec la personne qui me l’a raconté avant publication… Je vous reviens, avec peut-être aussi des détails!