Chère lectrice, cher lecteur,
Aujourd’hui, le sport est trop souvent associé à l’esprit de compétition.
Dans l’imaginaire collectif, il faut toujours être capable de repousser les limites, d’accomplir des exploits et de gagner.
Et c’est encore plus vrai avec le règne des smartphones et des objets connectés.
On voit fleurir des applications en tout genre pour mesurer ses performances, calculer sa vitesse moyenne de course, enregistrer son nombre de pas. C’est l’obsession de la performance.
J’en veux pour preuve les publications de mes amis sur facebook : chaque entraînement de course est immortalisé, partagé, commenté. En voici un exemple ici :
Chaque semaine, mon ami Baptiste publie ses exploits sportifs sur sa page facebook.
On recherche dans le regard des autres la reconnaissance, l’admiration et parfois même l’envie !
Comme je vous le disais dans une précédente lettre, la pratique du sport en groupe ou le soutien d’un professeur peuvent être une réelle source de motivation. Mais quand on craint le jugement des autres, cela devient une vraie torture… et pas seulement physique !
C’est d’autant plus vrai si :
J’aimerais partager avec vous les difficultés que rencontrent plusieurs participants du Projet Santé Active dans la pratique de leur activité physique :
« Marche nordique : très bénéfique. Aquagym : idem. Aïkido : trop exigeant pour les articulations. Yoga : je me sens “larguée” au milieu de personnes non essoufflées, souples… »
Béatrice
« Salle de sport mais trop frustrant. Il n’y a que des personnes qui n’ont pas besoin de maigrir. »
Jean-Claude
« Une activité chez moi à mon rythme, je m’essouffle très vite, j’ai pris beaucoup de poids, je n’ai plus de thyroïde et elle a été mal réglée à un moment donné, impossible de maigrir… d’où la crainte de participer à un groupe, de ne pas pouvoir suivre le rythme. »
Isabelle
Comme le montrent ces témoignages, c’est souvent la comparaison aux autres qui génère de la frustration et du découragement.
Alors qu’il devrait vous aider à progresser et à vous motiver, le groupe peut, au contraire, aggraver vos complexes et vous condamner, petit à petit, à renoncer.
Pour profiter des avantages du groupe sans souffrir du regard des autres, il est indispensable de choisir un « sport qui ne juge pas ».
Bien sûr, la plupart des sports cultivent les valeurs de respect mutuel et de tolérance.
Mais certaines disciplines se sont construites sur des valeurs humaines fondamentales comme l’écoute et la confiance en soi, l’ouverture aux autres, l’empathie. Je pense notamment aux arts martiaux et, plus généralement, à toutes les disciplines qui nous viennent d’Asie. C’est presque une philosophie de vie qu’on adopte : en intégrant un groupe qui pratique la même discipline sportive, on adhère aussi aux valeurs du groupe.
Et c’est ce que je vous propose de découvrir très prochainement. D’ici là, j’aimerais avoir votre avis sur ce sujet essentiel au bien-être. Rendez-vous ci-dessous pour laisser votre commentaire.
À très bientôt,
Matthieu Conzales
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Le bien etre par le sport est ceux que l on en fait ne pas chercher a copierles les autres autrement aucun intérêt le faire pour soi au depart en ce fixant des petits objectifs et suivant son etat de sante une marche un peut soutenue en regardant la nature ou en bord de mer et aussi benefique que du spory en salle