Sport, jeu, amour, toutes les activités peuvent être faites sur ordinateur ou téléphone pour moins cher, plus facilement et avec moins de risques que dans la vraie vie.
Mais que devient votre vie quand tous vos jeux, votre sport et vos amours ne se passent plus que sur un écran ???
Jouer au foot sur ordinateur ne développe pas les muscles, ni le cœur, ni l’habileté physique.
On est aussi privé de l’esprit d’équipe, des amitiés, des bons souvenirs et des franches rigolades.
Sur le long terme, ce sont de précieuses expériences de vie qui ne sont pas faites. On ne construit rien, on reste seul… et on augmente son risque de maladie.
Mais le phénomène est plus triste encore en amour…
Les femmes n’en sont pas toujours conscientes, mais pour la plupart des hommes, s’approcher d’elles et essayer d’engager conversation demande un courage énorme.
C’est prendre un risque, le risque de l’échec, du rejet qui nous renvoie à nos défauts physiques, notre manque d’esprit, notre incapacité à les faire rire et à les convaincre qu’elles seraient heureuses avec nous…
Se prendre « un vent », comme on dit, n’a aucune conséquence pour le « dragueur » de rue.
Celui-ci aborde n’importe quelle femme sur son passage et il est prêt à lui mentir effrontément pour la manipuler. Il s’en fiche. Il compte sur les statistiques. Une fois sur 100, une fois sur 200, sa tactique finira par marcher, aussi grossière soit-elle, et cela lui suffit.
Mais pour les autres hommes, c’est différent !
La timidité, la pudeur, la crainte de ne pas être à la hauteur paralysent. Combien d’amoureux transis n’oseront jamais révéler leur flamme ? Combien de jeunes garçons, sentant confusément les risques de tomber amoureux, préfèrent essayer de se convaincre qu’ils « n’aiment pas les filles » ? Autrefois ils étaient obligés, tôt ou tard, de sortir de leur coquille. Aujourd’hui, des sites web les conseillent pour apprendre, enfin !, à se faire aimer et cela peut être utile si les conseils sont corrects [1].
Mais Internet offre aussi de dangereuses illusions d’échappatoire : l’amitié, l’amour et le sexe virtuels. Je n’ai pas besoin de sortir ni de me montrer. Je n’ai pas besoin de rencontrer, ni même de parler. Je n’ai pas besoin de plaire. Je n’ai pas besoin de me confronter aux autres. Je n’ai qu’à cliquer et je peux réaliser, ou du moins me donner l’illusion de réaliser tous mes fantasmes, seul, dans mon coin.
Et le nombre de personnes qui tombent dans le piège est effrayant.
Selon une étude publiée dans le Journal of Developmental & Behavioural Pediatrics, les garçons commencent à regarder des films pornographiques sur Internet à partir de 12 ans en moyenne. Ensuite, 63 % continuent à les regarder toutes les semaines, et 10 % tous les jours (73 % en tout, donc !!) [2].
À grande échelle, ce sont donc des machines, des mémoires d’ordinateurs qui fournissent à la plupart des hommes occidentaux aujourd’hui non seulement leurs premiers émois affectifs, mais également leur vie affective et sexuelle plus tard, qui ne se fait qu’avec des images et bruitages préenregistrés et reproduits sur écran artificiel.
Parallèlement, progresse le nombre des jeunes de 18 à 24 ans qui déclarent souffrir de solitude : ils sont désormais 49 % selon une étude TNS-Sofres, à ne pas parvenir à développer assez de liens affectifs satisfaisants avec leur entourage [3].
Est-ce une surprise ?
Pire, même dans les cas (de plus en plus rares) où une relation réelle est établie, Internet continue à faire une dangereuse concurrence à la vie du couple :
L’amitié elle-même est compromise.
J’ai emmené mes enfants au départ en classe de neige. C’était au petit matin. Des cars étaient là. Je m’attendais à voir des centaines d’élèves surexcités et ravis de partir quelques jours.
En réalité, c’était un silence de mort. Dans la pénombre, je n’ai aperçu que de sinistres silhouettes éclairées d’un halo bleuté (la lumière des écrans) occupées à consulter leurs smartphones et à échanger des messages avec des absents. Chacun était enfermé dans son monde, indifférent aux êtres en chair et en os autour de lui.
Et tout ça pour quoi ? Soi-disant pour entretenir un « réseau social ».
Voici un texte que j’ai trouvé sur Internet et que j’ai accroché dans mon bureau.
« Que se passerait-il si… »
Ce n’est pas qu’Internet soit mauvais en soi. Mais les bienfaits d’Internet ne doivent pas nous faire oublier que la vie est courte, que le monde est vaste, et qu’il y a beaucoup de choses importantes et intéressantes à faire !!
Nous sommes des êtres de sang et de chair ; nous avons un corps physique ancré dans le monde réel, où nous avons une vie à accomplir.
Cela demande de la force, du courage, de l’énergie. Soyez audacieux ! Libérez-vous ! Ne vous contentez pas d’une vie semi-artificielle via Internet et Facebook.
Exigez des expériences intenses, des amitiés vraies, du sport et de l’amour physiques et réels !!
À votre santé !
Jean-Marc Dupuis
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Bonjour et merci pour les conseils
Je suis abonné depuis longtemps à ce site mais ce qui m’a vraiment aider en plus de vos multiples conseils c’est ça
bit.ly/Monremontant
Bonjour,je trouve votre interprétation du film Ben Hur et par extension le sens de Noël inappropriée et non conforme à la réalité biblique et profonde
de la naissance de Jésus Christ le Rédompteur du monde
Merci de consulter la source (la Bible)pour comprendre le miracle de Noël.
Bien cordialement
Krebs Daniel
Très pertinent ce texte,qui doit laisser à la reflexion..
Comme je suis heureuse,dans ce cas, d être une ”vielle”qui a noué des amities,des amours,des relations vraies et durables,quitte à se casser la figure parfois,bien avant l existence de ces réseaux qui ne tissent trop souvent que des liens legers comme le vent et si éphémères.
Bien sûr,il faut vivre avec son temps,et comme pour tout,prendre,apprendre,mais ne pas baisser la garde,rester vigilants,penser et reagir en humain,tout simplement…meme si ce n est pas si simple en fait!
je n’ai pas de téléphone portable, et je n’en veux pas, l’idée d’être attachée par ce fil m’insupporte. Quand je vois les gens au restaurant qui sont sur leur téléphone respectif, on se demande pourquoi ils sont l’un en face de l’autre ? Il n’est pas rare que dans les transports, que j’engage la conversation avec des personnes, c’est plus enrichissant pour moi. Je fais partie des 5 % de personnes qui n’ont pas de téléphone portable et je n’ai pas l’intention d’y changer quoi que ce soit. Mon petit-fils est tellement accro que dernièrement, son père a dû l’emmener… Lire la suite »
Mais par la meme occasion on veut supprimer les portables à l’école ce qui n’est pas une mauvaise chose ne soi mais alors pourquoi diantre vouloir faire travailler les élèves sur des supports numériques?pour soi disant les rendre plus attentifs?le fait d’ouvrir un livre d’utiliser un stylo un crayon de papier de devoir porter quelques cahiers et livres dans le sac d’école devient il inutile?on marche sur la tete sans compter cette publicité qui nous envahi on fait de l’écologie soft pour plaire à une tendance alors qu’il vaudrait mieux aller discuter avec les tenants d’une véritable écologie nos petits… Lire la suite »
et aux corrompus qui nous gouvernent de supprimer la pornographie sur internet en même temps qu’interdire tous les produits du criminel Bayer monsento , , allias zyklon B agent Orange.