Ma stratégie « longue vie » pour bien vivre et mieux vieillir !

Cela ne me rajeunit pas… En 1999, j’ai publié avec Maurice Nahon un livre qui était important pour moi : « La Bible anti-âge », qui a été rééditée en 2009 sous le titre « Stratégie Longue Vie » aux éditions Jouvence. Malheureusement, ces livres sont aujourd’hui quasiment épuisés. Mais le sujet dont ils parlaient est inépuisable…

Il est question encore une fois du temps et de ce qu’il fait sur nous… Bien vieillir ou bien vivre, telle est le dilemme.

  • « Docteur ? Je prends du poids, je m’empâte, regardez mon ventre ! »
  • « Ah ! Ma mémoire, docteur, si vous saviez ! »
  • « Regardez ma peau, comme elle ride, se dessèche et se couvre de… au fait comment appelle-t-on ces taches ? Ah, oui, des fleurs de cimetière ? »
  • « Je ne dors plus comme quand j’étais jeune, et quelle fatigue au réveil ! »
  • « Je n’entends plus, ne vois plus, ne… non plus. »
  • « Ah, docteur, comme c’était mieux avant : quel monde de fous, quel bruit, quelle bousculade, mais où va-t-on docteur ? Ah, ces jeunes ! »
  • « C’était le bon temps ! »

Voilà ce qu’entend un médecin entre les murs de son cabinet. Il y a des variantes bien sûr, la mélodie peut changer quelquefois, mais globalement, le refrain est souvent le même. Et c’est normal, nous sommes tous faits du même tonneau !

Vous l’avez remarqué, toutes ces questions sont plus ou moins en rapport avec un vieillissement mal géré.

Ce sentiment de « mal vieillir » apparaît lorsqu’on voit ses capacités diminuer ou disparaître :

  • Nos perceptions (auditive, visuelle, gustative, intellectuelle…), il est facile de les tester
  • Nos réflexes et nos réponses adaptées aux affects (émotions), aux infections, aux variations climatiques, aux changements de temps, de situation…
  • Notre tolérance à la fatigue et surtout nos facultés de récupération. On peut considérer que la difficulté grandissante à récupérer d’une nuit blanche ou d’un coucher tardif est bien un signe de vieillissement qui dénote un déséquilibre nutritionnel et hormonal (baisse de l’hormone de croissance, de la DHEA, des hormones sexuelles et de la mélatonine).
  • Notre capacité de reproduction chez la femme, qui, du fait d’une diminution progressive de son niveau hormonal, va avoir des cycles anovulatoires ou des troubles de la muqueuse utérine ; chez l’homme qui, du fait de la baisse de la testostéronémie, va avoir des troubles de l’érection et une moins bonne qualité de sperme.

« Mal vieillir », c’est aussi une évolution parfois un peu contradictoire entre le fait de :

  • Devenir plus fragile physiquement et émotionnellement, devenir plus dépendant(e) des autres, de l’affection, de la sécurité, de la protection..
  • Se durcir, se scléroser, devenir plus coléreux, vindicatif ou agressif à propos de causes souvent futiles. C’est l’évolution vers le tempérament dit « soupe au lait ».

Comment cela se traduit-il sur notre corps ?

On peut remarquer nombre de signes bien visibles : la peau devient plus sèche, plus fine, déshydratée, plus ridée. Les plis cutanés mesurés à des points bien précis sont plus importants. Les rides apparaissent et particulièrement autour de la bouche, les joues tombent, les cernes autour des yeux s’accentuent. La cicatrisation des plaies ou petites blessures met plus de temps.

L’audition se dégrade : on devient peu à peu « dur de la feuille ».

La vue s’altère : le cristallin perd de son élasticité et entraîne des difficultés d’accommodation : on doit tenir son journal de plus en plus loin. On se moquait gentiment de nos parents quand ils faisaient ces gestes, mais maintenant, c’est à notre tour ! Beaucoup de déficits en nutriments sont à l’origine d’une évolution progressive vers la cataracte…

Les cheveux et les ongles deviennent de plus en plus fragiles. Les ongles sont striés, cassants et ceux des orteils se durcissent.

Dans les vaisseaux sanguins, des plus gros aux plus petits (capillaires) on perçoit des signes d’athérosclérose, d’insuffisance veineuse avec sensation de jambes lourdes et veines et capillaires de plus en plus apparents.

Des examens médicaux comme les « dopplers artérioveineux » ou la « vitesse de propagation de l’onde de pouls » que l’on peut facilement réaliser en centres spécialisés permettent à la fois de les objectiver et de suivre leur amélioration quand on choisit « les stratégies longue vie ».

Et dans notre tête, quel est l’effet du temps qui passe ?

Il n’y a pas que vos cheveux qui vieillissent. L’âge modifie considérablement nos structures psychiques et émotionnelles.

L’intolérance aux changements s’accroît, les lendemains et les prises de risque font de plus en plus peur.

Le « bien vieillir » ou les joies de la maturité

Vieillir n’est pourtant pas une maladie.

Je vis dans ce sud de la France où de nombreux retraités viennent chercher le soleil et la lumière. On pourrait croire qu’ils sont paisibles et nonchalants, or c’est tout le contraire. J’exagère peut-être un peu mais je traduis ce fait qui me saute aux yeux chaque jour : la vieillesse, si elle est rarement un âge de sagesse, pourrait, avec quelques précautions en amont, devenir un âge de réalisation, de joie profonde, de sérénité et de transmission.

On est souvent bien loin du compte !

Est-elle un âge de santé ? On tente de nous le faire croire. Mais la facture des dépenses de maladie contredit quelque peu le propos. On confond hélas bien souvent « allongement de l’âge de la vie » et « allongement de la santé ».

L’augmentation faramineuse des dépenses de santé qui s’accélèrent en fin de vie ne signe-t-elle pas l’échec de tout un système médical, et bien entendu l’échec d’une philosophie globale de prévention précoce ?

Car les médicaments, les prothèses et les traitements coûtent de plus en plus cher.

Est-ce vraiment enfoncer une porte ouverte que de proclamer une fois de plus qu’il vaudrait mieux prévenir que guérir, sans avoir peur de préciser que plus la prévention est précoce, plus elle est facile, efficace, et moins elle est coûteuse.

Mais quel homme politique osera réellement parler de prévention du vieillissement par peur de choquer ou de déplaire à son électorat d’aujourd’hui et surtout de demain puisque, demain, il sait très bien qu’il ne sera plus là !

Quant aux plus jeunes, qui ose encore leur parler de prévention, de diététique, leur dire que la vieillesse se prépare pendant la jeunesse, que le « mal manger » conduira au mal-être et que le mal-être, quand il ne conduit pas au suicide ou à la vraie maladie, mènera à coup sûr au « mal vieillir » ?

J’affirme ici que le « bien-être » n’a pas de limite d’âge et qu’il n’est jamais trop tard pour décider de « bien vieillir ».

Je ne parle pas que d’apparence extérieure mais de notre santé intérieure dont nous sommes le reflet, de santé physique, intellectuelle, cérébrale ou même sexuelle : le corps n’est-il pas « le temple de l’âme » ?

Je constate chaque jour que ceux qui ont « bien vieilli », quel que soit leur âge :

– Ont modifié leur alimentation dans le sens que nous indiquons

– Ont consulté suffisamment tôt des thérapeutes avant la maladie, dans une démarche de prévention

– Ont, dans ce cadre, réalisé régulièrement des évaluations cliniques et biologiques dans le domaine de la nutrition, de l’évaluation physiologique de leurs capacités ou du stress oxydant… pour ne citer que les principales.

– Ont compris que la prise régulière de quelques « compléments » pouvait leur redonner une santé, une énergie, une vitalité qu’ils avaient oubliées ou même méconnues.

– Ont également compris que ces changements d’alimentation, de mode de vie, quelles que soient les dépenses qu’ils occasionnent, leur faisaient réaliser, à terme, de grandes économies de temps, de souffrance et d’argent.

Ceux qui n’acceptent pas

Ceux-là n’ont pas accepté la fatalité des douleurs articulaires ou musculaires avec les limitations de mouvement qui en découlent, les fatigues, les vertiges, les insomnies, les rides, les sécheresses cutanées ou vaginales, les impuissances mentales ou sexuelles.

Ils ne les ont jamais considérées comme une évolution naturelle ou irréversible.

Ils n’ont pas renoncé à se mouvoir, à pratiquer une activité physique modérée, à agir et travailler pour le plaisir.

Ils ne s’endorment pas après les repas et ne se réveillent pas dans la lassitude, l’épuisement ou le découragement.

Ils ne fuient ni la jeunesse ni les nouvelles idées ou les nouvelles technologies, mais refusent de faire « le vieux beau » ou la « vieille belle » à n’importe quel prix, sans nier le fait qu’une médecine ou chirurgie esthétique bien faites peuvent avoir leurs raisons et leurs succès.

Ils ne font pas éternellement référence au « bon temps de jadis ».

Ils tombent amoureux à tout âge et continuent d’aimer toujours car, comme le dit très bien Albert Camus [1] : « Il n’y a que l’amour qui nous rende à nous-mêmes. »
Ils ne se ruinent pas en médicaments mais achètent des aliments de bonne qualité, des nutriments et vitamines, et parfois des hormones de préférence naturelles.

Relisons le Dalaï Lama qui répondait à la question : « Qu’est-ce qui vous surprend plus chez l’homme ? » Voici ce qu’il répond :

« L’homme, parce qu’il sacrifie sa santé pour l’argent, ensuite il sacrifie tout son argent pour recouvrer la santé. Par la suite, il est tellement anxieux au sujet du futur qu’il ne profite pas du moment présent ; le résultat est qu’il ne vit ni dans le présent ni dans le futur, il vit comme s’il était immortel et meurt n’ayant jamais vécu… ».

Acceptons le mûrissement d’une vie qui participe au monde, en y ajoutant notre expérience, sans y perdre « notre âme d’enfant », mais en gardant à l’esprit que l’idéal serait d’être encore en bonne forme la veille de sa mort. Que dis-je, les quelques instants qui la précèdent !

Certains, comme Linus Pauling, Antoine Pinay et bien d’autres y sont parvenus, pourquoi pas vous ?

Si l’on décidait tout de suite, maintenant… !

Il me semble que c’est le moment d’agir avant qu’il ne soit trop tard. Le temps de :

– Refuser à se résigner à ce type d’attitudes : « Il faut bien accepter de souffrir, vieillir, se voir diminuer, se ratatiner, se “prothétiser”, se médicaliser », en n’ayant aucun sens critique vis-à-vis des publicités pharmaceutiques ou esthétiques qui prolifèrent.

– Ne plus avoir peur de se regarder dans le miroir, de se prendre en charge avec des bilans nutritionnels ou hormonaux, des mesures physiologiques, des tests, et de se plier à toutes les conséquences pratiques auxquelles ils peuvent nous conduire.

– Ne plus reculer sans cesse notre réflexion : « Ah ! j’attends les preuves scientifiques », mais quand les preuves viendront, serons-nous encore là ?

Comme le dit très bien le Dr Michel de Lorgeril, cardiologue et chercheur au CNRS [2], « On peut me rétorquer qu’on ne parle plus de nos jours que de médecine fondée sur les preuves ! Certes, mais je ferai remarquer qu’il n’y a pas de preuve ou de vérité en science, seulement des concepts et des théories, et que ce qui peut sembler vrai un jour (une théorie quelconque) peut très bien ne plus l’être le lendemain ».

Le coût du recul et de la réflexion

Prenons du recul : tout n’est pas si complexe ni si coûteux. Faites vos calculs !

Comme il est bon de se sentir à tout âge en forme physique, cardiaque, cérébrale, visuelle, sexuelle… n’être presque jamais malade, arrêté sans cesse, handicapé par la fièvre ou la douleur, sans excès de rhume ou angines, sans déprime pour la moindre contrariété, en se sentant et avant tout « bien dans sa peau », en acceptant les compliments sans fierté et les désobligeances sans culpabilité et… sans médicaments…

Il n’y a pas de réponse toute faite : vous serez ce que vous déciderez d’investir dans votre propre santé, dans votre vie et votre sérénité et quand vous le déciderez.

Croyez-moi, la plupart du temps, ce n’est pas une question de moyens mais de choix. Sans parler des cigarettes (nous y reviendrons) combien dépensons-nous en d’autres plaisirs qui, sans être futiles, ne sont pas toujours essentiels ?

Ne confondons pas bonheur et plaisir !

À nous de choisir !

Chassons les interdits (cela fait maintenant presque 50 ans qu’on a clamé sur les pavés parisiens « Il est interdit d’interdire »).

Quels que soient nos moyens, nous pouvons tous envisager de :

– Cesser absolument de fumer, ou limiter notre consommation en connaissance de cause car nous intégrons très bien les risques que nous prenons et il ne devrait pas y avoir besoin de « paquet neutre » pour ça.

– Manger mieux, en tenant compte des conseils de la « journée nutritionnelle anti-âge » ou en s’orientant vers la diète méditerranéenne ou crétoise (moins de viande, de laitages et fromages de vache…).

– Bannir les sucres rapides appelés aujourd’hui aliments « à index glycémique élevé », comme le miel, certaines céréales ou jus de fruit… particulièrement au petit-déjeuner.

– Bouger régulièrement à sa mesure, sans confondre sport et exercice : un petit exercice régulier (comme une marche quotidienne et rapide de trente minutes) vaut mieux que de s’épuiser, se fatiguer, s’agiter ou… ne rien faire.

– Se relaxer autant que possible, qu’il s’agisse de notre corps ou de notre cerveau…

Les baskets de course, le tapis de yoga ou le coussin de méditation sont certes très pratiques, mais si vous n’en avez pas, ne cherchez pas de fausses excuses !

Si vous en voulez un peu plus et choisissez de consacrer, selon vos moyens, quelques euros mensuels à votre bien-être et à l’optimisation de votre vie tant en qualité qu’en longévité, alors :

– Prenez chaque matin un bon supplément nutritionnel multi-vitamines et minéraux, contenant des antioxydants à doses physiologiques.

– Consommez régulièrement des petits poissons « gras » (sardines, maquereaux, harengs…) et si vous ne pouvez ou ne les aimez pas, trouvez alors un bon supplément nutritionnel en oméga-3 : ils sont maintenant sans odeur ni saveur.

– Hydratez-vous soigneusement en ayant conscience que même une petit déficit en eau (qui compose 70 % de votre corps) baisse significativement vos performances, tout en n’acceptant pas de boire systématiquement celle que tant d’autres ont bue avant vous : il existe de nombreux systèmes qui lui redonnent sa pureté, sa potabilité et ses propriétés magnétiques d’origine.

– Buvez du vrai thé vert (pas des sachets !), un à deux verres par jour d’un bon vin rouge, croquez un à trois carrés de chocolat noir. Ne dépassez pas trop les doses, ne devenez pas dépendant, ce que vous confirmerez si vous pouvez vous arrêter sans souffrances à n’importe quel moment.

– Trouvez un bon « praticien de santé et de longévité » que vous accepterez comme il vous acceptera, afin de bâtir et moduler ensemble une vraie prévention quels que soient votre âge et vos moyens.

– Suivez ses conseils adaptés à vos seuls besoins et non à ceux de votre voisin ou de votre frère… profitez, sur Internet, des conseils et des expériences des autres sans jamais oublier que vous êtes un être unique et spécifique.

Si votre portemonnaie commence à grincer, dites-vous qu’aujourd’hui la santé, la vôtre en particulier, a forcément un prix et que nul autre que vous ne la prendra mieux en charge, même en dehors des sentiers battus.

Doit-on le regretter ? Ça, c’est un autre débat ! Mais que ce débat ne vous serve pas d’excuse car, dans tous les cas de figure, 2 grammes de pratique valent toujours mieux que 2 tonnes de théorie.

Voici les conseils que je souhaitais vous donner aujourd’hui.

Dr Dominique Rueff




N'hésitez pas à commenter la lettre de ce jour ci-dessous. Veuillez cependant noter que, en raison du très grand nombre de commentaires, le Dr Rueff ne pourra pas vous répondre individuellement.


9 réponses à “Ma stratégie « longue vie » pour bien vivre et mieux vieillir !”

  1. le breton dit :

    la vidéo audio prend trop de temps la lecture « écrite  » est + rapide .

  2. Dermy dit :

    Je suis surprise que vous déconseillez le miel !?

  3. Ariane Delaisse dit :

    Merci de toutes vos lettres qui sont si riches de bons sens et de savoir.

  4. anita dit :

    le temps qui passe boulverse beaucoup de choses et dans nombreux domaines . l adage qui dit qu il vaut mieux prevenir que guérir est toujours vrai …Bien qu on est conscience des bienfaits par exemple de bien se nourrir quelquefois la gourmandise prend le dessus , les publicités dans ce domaine a un impact trompeur surtout sur les enfants et meme sur nous memes.
    pour moi le miel naturel est un excellent aliment; pour les denrées primordiales il est necessaire de bien choisir effectivement notre mode de vie a une grande influence sur notre quotidien.
    la profusion de choses a alterée l essentiel…

  5. guillard dit :

    Je n’ai pas pu m’inscrire car je n’ai pas trouvé la France dans la liste proposée.

  6. gousset michel dit :

    Merci au docteur Rueff pour ses conseils avisés, sa vision équilibrée du mieux-vivre … Ce sont les paroles d’un sage !
    Ce sont aussi de formidables incitations pour prendre en main sa santé et éviter certains pièges de la vie moderne !

    merci encore !

  7. restelli dit :

    Cher Docteur Rueff, vos lettres sont très intéressantes, voire passionnantes à lire. Et les précieux conseils que vous donnez donnent des résultats. Simplement pour améliorer, ce serait bien quand, par exemple, vous conseillez de prendre un multivitamines, de donner un produit concret avec les coordonnées du site ou labo qui le produit.
    Oui, parce qu’après, bon , on ne sait ou chercher, ni quel produit serait le bon etc, alors du coup on ne fait rien.
    On vous remercie beaucoup et on attend votre prochaine lettre avec impatience. Très cordialement à vous cher Docteur.

  8. LANNEVAL dit :

    Bonjour
    Je suis d’accord avec ce que signale Restelli, à savoir qu’on ne sait pas quoi choisir lorsque vous donnez des conseils de certains produits. Car dans certaines lettres, les vôtres et celles de vos collègues, vous nous informez qu’ils peuvent être biodisponibles ou pas assez. Qu’ils ne doivent pas être mélangés à certaines molécules… etc …
    Aujourd’hui dans cette lettre vous préconisez de ne pas manger de miel car il a trop de sucre. Je mangeais beaucoup de confiture et j’ai choisi le miel lorsque le Pr Joyeux l’a conseillé car il est sans sucre blanc. Mais que manger à sa place ? J’ai déjà posé la question, à d’autres lettres, mais personne ne m’a jamais répondue.

  9. jlmaillard dit :

    Bonjour,
    Cet article est très intéressant. nous sommes depuis quelques années dans ce type de démarche, mais nous n’avons pas trouvé de quelle manière trouver le « bon » thérapeute qui pourrait nous accompagner et nous aider.
    En effet, les médecins de notre ville sont fermés à ce type de démarche (par exemple, ils trouvent que l’attention apportée à la vitamine D est très exagérée).
    Dans ce contexte, nous prenons nous-même des compléments alimentaires, mais la démarche ne présente-t-elle pas quelques risques puisqu’elle ne s’appuie pas sur des analyses et des dosages?
    Je regrette que cette problématique ne soit pas abordée par les différents auteur de SNI.

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